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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 08:06
par Véronique Shalgian, mardi 8 février 2011, 00:49

 

il n'existe pas de réel sens à chaque évènement qui bute sur ton quotidien, quand il débarque sur le seuil de ta porte sans avoir frotté son passé sur le paillasson , sans avoir pesé l'effet garanti et non remboursable sur ta vie...

Peut-etre faut il juste savoir cultiver son jardin, pour que tout soit pour le mieux dans le meilleur des mondes??

Rien ne se prévoit et pourtant, on voudrait que tout soit...

De déceptions, en joies, je vogue avec ma double bouée sur les flots colorés mais incertains de ma liberté...

J'aime tant aimer, que la douche est tantôt glaciale, tantôt bouillantissime, à tel point que le résultat parvient toujours autant à me surprendre, à chaucune des batailles menées...

Rendre heureux est une douce prétention qui n'est jamais acquise, même quand elle est frôlée...

Etre heureux est une belle possibilité offerte par la vie, aussi doit-on lutter pour gagner son ticket d'entrée et pour ensuite savoir le onserver...

L'osbcuer tendresse de mes lignes ne s'aaparente pas à une torture mentale, mais juste à mon réalisme imposant tant dans la vision des choses que sur le vrai visage des gens, des êtres croisés... Et quand bien même on ne lit pas entre les lignes ce que mon coeur regorgeant d'un sang neuf et frais sans cesse renouvellé, celui ou celle qui me connait, ne prend que cette douce réflexion, ce chouette exutoire, comme les pages du livre de ma tite vie qui se tournent et me donnent juste parfois le tournis!!!

Besoin de trouver la branche à laquelle s'accrocher, juste pour que demain se leve sur de nouvelles et pures idées...

Et puis, des fois, l'imprévu te tape sur l'épaule en arrivant juste derrière toi, te bouscule et je bascule... Que faire quand les traits d'union manquent entre les étapes à digérer? ne pas laisser de miette, ou bien, provoquer l'arrêt sur image pour que le repos de l'âme et du coeur se fasse sans séquelles irréversibles sur ma vision des choses...

Ma chair, ma vie, mes enfants-roi tourbillonent autour de ma constellation instable mais finalement édifiée de mes mains, non sans fierté! Je veux être là pour les admirer dans leur floraison sans limite, sans saison, éternelle et charnelle...

Ils méritent que ma raison se pose quelques instants sur le livre de leur vie vierge de soucis, emplie d'inscouciance...

Trouver l'équilibre entre leur sourrir permanent et le mien, n'est pas chose aisée mais la plus belle des volonté!

Y parvenir trace sous mes yeux, une route sinueuse dont les erreurs servent de leçons et les réussites, de fierté qui motive pour défoncer toujours plus de murs, de portes blindées...et enfin trouver l'espace temps dont le ciel serait pluie de coton et chaleur de rayons colorés...

Certains chemins se séparent parfois sans qu'on n'en ai souhaité ne serait que le brouillon... d'autres se croisent alors qu'on se pensait quelques dizaines de pieds sous terre...

Je ne laisserai pas ma tête rouler, et vais tâcher de prendre ce que chaque minute apportera de bon à l'édifice de mon bien-etre tant mérité!

Merde à ceux que je dérange, je n'sais pas porter de masque adaptable à tout un chacun, pour qu'au final, l'autre soit heureux et seulement l'autre... cete envie naît du don de l'autre ...et quand l'autre ne regarde plus dans la meme direction, alors, je tire sur la voile de la paix pour qu'enfin, mes efforts insatifaits posent leurs armes et me laissent respirer...

On aimerait jamais se tromper, toujours donner sans compter, mais la faiblesse est autorisée...mais pas toujours tolérée...

La vie est devant, tant pis si elle n'a jamais le visage qu'on lui aurait imaginé, tant mieux si elle me fait rebondir vers d'autres gaietés...

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 07:15
par Véronique Shalgian, dimanche 30 janvier 2011, 00:26

Echappatoire transitoire, comme une porte dérobée sur une prison dorée... l'illusion de légèreté une fois envolée, reste au plancher toutes vérités...

aussi indigestes puissent elles etre, je la piétine sans véritable ambition, juste parce que l'oxygène qui me transporte, aveugle mes pas vers la sérénité...

Douce folie, ou bien mélancolie... l'âme est un miroir grossissant de notre coeur...La mienne s'etouffe de rires, d'amour et de pleurs... Quand l'état sauvage envahit mon moi interieur, je suis terrifiée de ce visage inconnu et sans ressemblance avec la gaieté de mes pas quotidiens... un sourrir apaise, un rire ballade dans l'oubli, la colère fait trembler ma raison et l'incompréhension dégouline sur mes fondations...

On oublie rien de ce qu'on veut oublier...c'est le reste qu'on oublie! les jours, les mois,passent...la vie, sans hasard, galope sans laisser place à la réflexion et au profit de petits bonheurs tant rêvés... On la dessine avec tant d'envies, de fous projets, de belles émotions et l'être humain tourne ses pages sans la respecter...

Je voudrais m'asseoir le long de sa rive, y regarder les bateaux passer, shooter chaque image qui m'interpelle pour laisser des traces en l'honneur du passé, regarder grandir mes Amours dont j'ai saboté une partie de leurs repères sans me méfier... L'électricité qui m'habite dérange ou bien arrange, elle est mon essence et j'aimerai tant savoir l'apprivoiser...

Le poids des maux aiguise cette putain de culpabilité, celle qui s'est incrusté voila 33 ans dans ma chair, dans mon coeur, dans mes tortures mentales de cogiteuse chronique et épuisée... un tourbillon de questions met feu au brasier ardent des étapes franchies et imposées...Et si chercher des réponses n'apporte que lourdeur et ambiguité, je n'veux que glisser et enfin respirer!

Alors, j'emmerde les regards obscurs et les pensées diaboliques qui pensent savoir ce qui est bon ou pas, sans même comprendre qu'on ne peut être normal et vivant à la fois!

L'amour est un sentiment si fort qu'il permet d'oublier toutes les raisons que l'on aurait de ne pas aimer... La pompe de mon coeur distribue ce sentiment sous forme de tachycardie, mais quand en apnée face à l'abandon qui m'est destiné, je m'égard dans l'ivresse et l'insomnie festive, on oublie trop souvent ce que chaque jour, je distribue sans compter...

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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 07:13
par Véronique Shalgian, vendredi 15 octobre 2010, 02:55

 

 

 

A mes entrailles, mon sursaut de vie, ma renaissance, mes joies et mes peines…

A ces tout petits êtres si fragiles qu’on fait gigoter tel un pantin, sans se soucier de leur lendemain…

Au fruit d’une passion inachevée, mais lien éternel pour se soumettre à l’absence…

Ces p’tits hommes, insouciants et pourtant en constante recherche du pourquoi, du comment…

Le temps file entre les doigts, sans que je ne maîtrise quoi que ce soit…

Ce tout petit rien, tant voulu, tant attendu…Ces toutes petites choses, qui me lient au passé, dont la page est si lourde à tourner…

Un vol plané au dessus d’un océan d’amour inébranlable et sans égal… Ce sentiment nouveau qui ne nait qu’avec nos marmots… Un trop plein de lucidité et de sagesse qu’il faut savoir apprivoiser…

Quand la face cachée de la lune laisse s’échapper le rayon trop lumineux, celui qui te rappelle pourquoi tu es la, pour qui et comment… Alors, le soleil est de retour, en dépit des années noires, des années folles, des heures de gloire…

Je cale mes pas sur ceux d’autrui, j’avale le vent, j’avale mes cris…

Mon pays, mon sang, ma rue, sont dans vos yeux, je les ai vu… ma vie ne trouve ses contours qu’en suivant chacun de vos pas, en les guidant aussi vers l’apprentissage, non sans ravage, de la vie et de ses ennemis…

J’essaie chaque jour que l’aube pose sur nos plaines, de vous donner le meilleur, à la sueur de mon énergie, dont je n’ai que faire si ce n’est vous en faire profiter pour pousser chaque porte et défoncer chaque mur que vous rencontrerez dans la vie !!

Mes fils, ma chair, mon sang, mon nuage cotonneux éternel d’amour sans frontières, ce tout divisé en 2 êtres si différents…

Vous regarder, vous décripter, vous comprendre, n’est pas bataille gagnée d’avance, mais le simple fait de vous voir enregistrer les mots, les gens, les évènements me souffle l’espoir certain, que la vie est devant…

Et quant bien même, la vie ne se déroule jamais comme sur le-dit scénario, j’y ai placé 2 tout petits être épicées, 2 âmes ouvertes à la différence et je me dois de les guider à tout jamais sur la voie lactée…

Je vous aime comme la simple nécessité de respirer, je suis vos pas de géant, effrayée mais fière de ce don que la vie m’a fait…

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